Gravelines : Les berges des fortifications remises en état
Leurs dernières remises en état remontent aux années 1970 « après Vauban » ... et l'usure du temps avait fait son oeuvre.
Victimes de l'érosion, les quelque 20 kilomètres de berges que comptent les douves des fortifications de Gravelines bénéficient depuis plusieurs mois d'une remise en état.
Tant qu'elles avaient un rôle essentiel dans la défense militaire des villes, ces berges bénéficiaient d'un entretien permanent, mais guerre ou pas, le temps poursuit son oeuvre et la nature son avancée. Aujourd'hui, elles font la joie des pêcheurs et des promeneurs et certaines zones présentaient quelques risques.
Selon les zones deux techniques sont utilisées, celle du fascinage, ces bottes de branches de saule tressées et positionnées en quinconce entre les plots (on les trouve essentiellement dans les zones hors circulation des barques), et les palplanches, d'un coût plus élevé mais qui bénéficient d'une meilleure tenue dans le temps, si tant est que les planches restent au contact de l'eau
in LA VOIX DU NORD, édition de Dunkerque du 11 mars 2010
Victimes de l'érosion, les quelque 20 kilomètres de berges que comptent les douves des fortifications de Gravelines bénéficient depuis plusieurs mois d'une remise en état.
Tant qu'elles avaient un rôle essentiel dans la défense militaire des villes, ces berges bénéficiaient d'un entretien permanent, mais guerre ou pas, le temps poursuit son oeuvre et la nature son avancée. Aujourd'hui, elles font la joie des pêcheurs et des promeneurs et certaines zones présentaient quelques risques.
Selon les zones deux techniques sont utilisées, celle du fascinage, ces bottes de branches de saule tressées et positionnées en quinconce entre les plots (on les trouve essentiellement dans les zones hors circulation des barques), et les palplanches, d'un coût plus élevé mais qui bénéficient d'une meilleure tenue dans le temps, si tant est que les planches restent au contact de l'eau
in LA VOIX DU NORD, édition de Dunkerque du 11 mars 2010
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