dimanche 14 fevrier, choix cornélien pour les Dunkerquois: bande de Dunkerque ou Saint-Valentin?
Au IIIe siècle de notre ère, l’empereur Claude II avait quelques difficultés à trouver des hommes pour garnir ses légions. Ni une, ni deux, il leur interdit le mariage, prétexte fallacieux pour éviter de prendre trop de risques. Valentin, un prêtre chrétien, se met alors à marier secrètement les amoureux. Mauvaise idée ! L’empereur le fait arrêter et jeter dans un cachot où il a connaissance des malheurs du geôlier. La fille de ce dernier, Julia, est aveugle. Touché, il rend la vue à la jeune fille et, du coup, obtient la conversion de toute la famille au christianisme. Des nouvelles comme çà, ça ne passe pas inaperçu et tout vient aux oreilles de l’empereur.
La colère le prend, il fait briser les os du prêtre à coups de bâton, puis le fait décapiter et jeter le corps sur la voie flaminienne le 14 janvier 268. Julia y plante alors un arbre aux fleurs blanches teintées de rose qui fleurit en cette saison… Un amandier, symbole d’amour et d’amitié. En 495, le pape Gélase, voulant faire disparaître la fête païenne des Lupercales, dédiées à Luperca, déesse de la fertilité, impose alors Saint-Valentin. Avec un tel martyre, peu de risques que cela dégénère en orgies comme avec ces païens délurés !
Pour certains, il faut chercher du côté du Nord : Charles d’Orléans, prisonnier des Anglais après la catastrophe d’Azincourt, y aurait observé le manège des oiseaux qui commencent alors à se rapprocher. Il aurait eu alors l’idée d’envoyer à sa tendre des messages d’amour, qui prirent le nom de « Valentines », ces cartes décorées de moult cœurs et de cupidons joufflus et dont nos cousins d’outre-Atlantique sont très friands. La légende traversa les siècles et sur la décision du Pape Alexandre VI, il devint en 1496 le patrons des amoureux, des fiancés et des jeunes gens dont le comportement se rapproche de celui des oiseaux, sans toutefois grimper aux arbres pour construire leur nid.
La colère le prend, il fait briser les os du prêtre à coups de bâton, puis le fait décapiter et jeter le corps sur la voie flaminienne le 14 janvier 268. Julia y plante alors un arbre aux fleurs blanches teintées de rose qui fleurit en cette saison… Un amandier, symbole d’amour et d’amitié. En 495, le pape Gélase, voulant faire disparaître la fête païenne des Lupercales, dédiées à Luperca, déesse de la fertilité, impose alors Saint-Valentin. Avec un tel martyre, peu de risques que cela dégénère en orgies comme avec ces païens délurés !
Pour certains, il faut chercher du côté du Nord : Charles d’Orléans, prisonnier des Anglais après la catastrophe d’Azincourt, y aurait observé le manège des oiseaux qui commencent alors à se rapprocher. Il aurait eu alors l’idée d’envoyer à sa tendre des messages d’amour, qui prirent le nom de « Valentines », ces cartes décorées de moult cœurs et de cupidons joufflus et dont nos cousins d’outre-Atlantique sont très friands. La légende traversa les siècles et sur la décision du Pape Alexandre VI, il devint en 1496 le patrons des amoureux, des fiancés et des jeunes gens dont le comportement se rapproche de celui des oiseaux, sans toutefois grimper aux arbres pour construire leur nid.
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