samedi 29 septembre 2007


La chevelure bouclée et délicate laisse s'échapper des boucles tombant délicatement en encadrant un visage avenant, le regard semble perdu dans le lointain comme figé dans une éternelle attente, plongée dans un abime sombre des reflexions qui assombrissent les âmes et noyent le regard dans une tristesse insondable. La belle comtesse de Castiglione traverse le temps sans frémir et offre au spectateur d'inoubliables émois... autant qu'elle en laissa au coeur de son amant l'Empereur Napoléon III.

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