mardi 14 août 2007

Les tours qui défendent l'entrée du château comtal gantois impressionnent par leur hauteur. Presque aveugles, elle ne laissent entrer la lumière que par de rares meurtrières et par la fenêtres cruciforme qui éclaire la chapelle... D'emblée, si l'on excepte les caténaires du tramway qui quadrillent la ville, on se sent basculer de l'autre côté de l'histoire, celle des grandes heures de la Flandre, celles de sa gloire passée et jamais oubliée, entre les comtes qui disputaient leurs terres au roi de France jusqu'au bon Keizer Karel, Charles Quint, qui naquit en ses murs...

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