Accompagné d'un petit haut comme trois pommes, il fait la manche, tirant des notes déchirantes de son accordéon, arpentant inlassablement les terrasses des cafés lillois dans l'indifférence générale... Qui voit encore la misère tant elle se répand dans les rues, aux feux tricolores, sur les trottoirs sombres, aux portes des magasins emplis de victuailles et de bibelots?
vendredi 6 juillet 2007
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