Les traditionels étals du bord de Seine peinent à attirer le chaland. Sous un ciel clément, l'hiver frappe pourtant à la porte, le promeneur se fait sinon plus rare plus pressé et marque rapidement le pas devant les livres usés et cornés de tant de lectures, d'innombrables heures de voyage immobile... Pour le vendeur, le temps passe et court, les journées se font longues et l'on ne finit par ne même plus prêter attention à celui qui prend un temps d'arrêt devant les monceaux de vieux papiers...
vendredi 17 novembre 2006
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