lundi 8 mai 2006

Soumise pour l'éternité...

Lascive, elle offre la douceur de sa peau de marbre au regard, espérant être touchée.
On la croit amante, maîtresse, plus femme que mère et l'on se prend à la caresser du regard, on s'attarde là sur les courbes, ici sur les formes tant et si bien que l'on s'imagine sa poitrine frémissante, puis le regard dérive, descend le long de ses lignes pour finalement trouver le bijou qui la trahit, une chaîne qui la maintient.
Captive et fascinante, on ne sait si l'enchaînée implore ou s'abandonne à celui qui la regarde...

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