jeudi 27 avril 2006

La nymphe de pierre se moque du soir qui tombe... Elle ne peut qu'apprécier le temps qui passe et sans lui opposer la moindre résistance, constate que le temps fuit toujours. Figée pour l'éternité dans une pause suppliante, elle est attendrissante en ce moment vespéral où la nature qui l'entoure change entre chiens et loups et où le moindre bruit devient inquiétant... On l'aurait aimé alanguie, elle devient orante.

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