Et dans les rêveries d'un promeneur solitaire, tout appelle au rêve, au désir, à l'envie, à l'attente d'un fantasme qui ne peut qu'être inassouvi... Les formes captent le regard, retiennent l'attention, suscitent des idées et, échappé de ses pensées, le pérégrin finit par être déçu car au long de ses vaticinations, il ne verra jamais personne s'animer et lui offrir un tel frisson. Décidément, l'Homme n'estque la somme de ses frustrations.
jeudi 15 novembre 2007
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