mercredi 26 octobre 2005

Par-dessus le parapet d'un pont, l'Yser se dévoile. D'un ruisseau, il est devenu un fleuve ample et large, au débit paresseux que seul le vent parvient à rider et dont l'onde joue avec les derniers reflets du soleil. Dans quelques kilomètres, ce sera l'ultime voyage, la mer le recueillera quand il quittera les écluses de Nieuport.

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