Trop endommagée, la caserne Jean Bart (mais il y en avait d'autres autour comme la caserne Guilleminot) fut abattue aprés la seconde guerre mondiale. De toute façon, pour accueillir qui?
La ville était exsangue, rasée à 90% et son régiment, le 110e Régiment d'Infanterie, parti occuper l'Allemagne pour y rester définitivement puisqu'il constitue l'épine dorsale de la Brigade Franco-Allemande.
Tant pis pour la mère Bistouille... Son café n'accueillera plus les biffins mais les lycéens après la construction du lycée Jean Bart sur l'emplacement même de la caserne. Le monument aux morts quitte lui aussi les lieux pour rejoindre les abords de la caserne Pagezy.