dimanche 1 mai 2005

Il suffisait de passer le porche d'entrée de l'Hôpital de Dunkerque, qui aujour'dhui n'accueille plus les malades, et de traverser la rue pour finir à l'Hospice de Dunkerque. Souvenir d'un monde hospitalier où les batiments frappent l'âme avant de soigner les corps, en matériaux locaux, ils sont les vestiges d'une époque où l'intimité et l'individualité face à la maladie n'existaient pas encore.

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